Les hommes et les femmes ont formé des « puits » d’une profondeur d’un peu moins d’un mètre et d’une circonférence légèrement plus grande. Ces formations caverneuses ne sont accessibles que par gros coefficient, tout simplement parce que les crevettes, aujourd’hui encore, ne se pêchent qu’aux grandes marées dans les Pertuis charentais. Ces personnes ont donc découpé la « banche » sans la fragiliser, enlever les pierres pour construire le trou. Et puis ils ont rebouché la cavité avec ces blocs de roche en entrecroisant les pierres par étage pour créer des vides afin que tout animal marin s’y engouffre et soit piégé avec une dernière rangée de pierres minutieusement disposées. Ce travail a évidemment demandé de nombreuses heures de travail à la pioche, au gros burin, au mar
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