La pâte, c’est à la fois une esche et une amorce. Une bonne boulette de pâte va en effet enrober l’hameçon, dégager son arôme et, en se délitant, expulser peu à peu des particules très appétentes. Attirées, les carpes viennent alors fouiller le tapis qui se forme peu à peu sur le fond et certaines vont gober l’hameçon sans même s’en rendre compte. En théorie, le procédé est imparable. Mais la mise en pratique demande de la précision, canne en main mais aussi dans l’élaboration de la recette, son mouillage surtout. Trop dure, la pâte ne travaille pas et reste inerte sur le fond ; trop molle, elle ne tient pas bien sur l’hameçon. Il faut parvenir au bon compromis, en tenant compte toujours de la profondeur du poste.
La bonne texture
Prêt à l’emploi ou fait-maison, il existe de nombreux mix efficaces. C’est la texture qui est plus difficile à maîtriser. Car quelques gouttes d’eau de trop dans un mélange qu’on ne maîtrise pas et il n’agit et ne tient plus de la même façon. C’est pourquoi je suis allé trouver Carl Williams, un d
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?