Test du leurre Santis 33 - IMA Lures

Sa forme particulière permet d’imprimer des animations variées et il risque de rapidement devenir une référence pour capturer de nombreuses espèces, notamment les aspes et les bars. Il a la particularité d’être équipé d’une palette en queue qui émet des vibrations et des flashs lumineux qui attirent les poissons de loin. C’est rare sur un jig.

Une forme bien étudiée

Le Santis dispose d’une tête ronde ornée de deux gros yeux qui renforcent son aspect imitatif, son corps est incurvé sur le dos et dispose, comme un bateau, d’une quille sous le ventre, c’est grâce à cette forme particulière qu’il trouve son équilibre en action de nage et effectue un rolling séduisant lors de la récupération, qu’elle soit rapide ou lente. Cette quille lui permet également de papillonner légèrement à la descente tout en restant stable, hameçons positionnés vers le bas tandis que sa palette tourne et virevolte dans toutes les situations. Il peut donc être récupéré en linéaire ou en dents de scie et il est également pêchant lors des pauses.

Un armement adapté

Chose rare pour un casting jig, le Santis est armé de deux hameçons triples tel un poisson nageur, traités mer et de très bonne qualité, un atout indéniable, notamment pour les pêcheurs d’aspes, car le prédateur attaque le plus souvent par la tête et n’échappera pas à l’hameçon ventral du Santis. Concernant l’hameçon de queue, il est monté sur le même anneau brisé que la palette, mais n’entrave en rien la nage de celle-ci et les deux ne s’emmêlent pas.