Il y eut d’abord le spinnerbait rendu célèbre par les succès de Roland Martin lors des « tournaments » de pêche au black-bass dans les années 1970. Bien plus tard, au début des années 2000, Ron Davis inventa le chatterbait, et les succès obtenus dans les compétitions américaines par Bryan Thrift en 2006 popularisèrent l’invention auprès des pêcheurs américains. Les Japonais, puis les Européens emboîtèrent le pas. L’air de rien, il s’agit d’un leurre plus technique et plus difficile à équilibrer que le spinnerbait, même si sa conception paraît être d’une simplicité extrême : un « bladed jig », c’est-à-dire un jig précédé d’une palette quasi verticale, combinant des effets vibratoires et visuels particulièrement attractifs.
Avec le bon trailer
Le jig est équipé ou non d’un système anti-herbe, la palette offrant quoiqu’il arrive un « effet d’écran » protégeant l’hameçon de nombreux accrochages dans la végétation. L’ensemble est équipé ou non d’un trailer. Personnellement, je ne me vois pas utiliser un chatterbait sans son trailer, et le choix de celui-ci me paraît même déterminant dans l’animation, la nage et les effets recherchés. Ai
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