La pêche en nymphe au fil est devenue, à juste titre sans doute, la technique de base des moucheurs. Elle permet en effet de ne pas s'ennuyer en attendant de très aléatoires gobages et de prendre du poisson en toutes circonstances. Mais telle qu'elle est pratiquée aujourd'hui, elle trouve ses limites, surtout en grandes rivières où elle n'offre que rarement l'opportunité de capturer les gros poissons. A nous tous de la faire évoluer !
A force d’attendre en vain les gobages, de plus en plus rares au fil des ans, on s’y est tous mis ! Même les inconditionnels de la nymphe à vue et de la sèche (dont je fais partie !), ont franchi le pas. D’autant que la nymphe au fil a connu rapidement de nombreuses variations, plus ou moins techniques, plus ou moins attractives et plus ou moins intéressantes. Pêche simpliste et accessible aux débutants lorsqu’il s’agit de pêcher « sous la canne » (pêche dérivée de la roulette inventée par Radix et l’Araignée (J. J. Cuenin) dans les années 85-90), pêche au « fil plaqué » graissé, pêche « à l’européenne », « tchèque », « slovaque », « pêche à l’espagnole », « pêche au grand fil…
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