Benjamin Billaut connaît bien les habitudes des brèmes et des carassins du Rhône qui trouvent refuge dans certains bras morts dès que le grand fleuve monte le ton. Là où notre ami Jérémie Boissière l’a retrouvé pour une belle journée de pêche au feeder pleine d’enseignements.
Membre de l’équipe nationale feeder, Benjamin Billaut est un pêcheur impressionnant de simplicité aussi. Je le retrouve aujourd’hui sur un parcours du Vaucluse, un bras mort du Rhône, à l’île de l’Oiselet.Une météo difficile
De grosses pluies en amont ayant gonflé le Rhône, les poissons se sont, comme ils en ont l’habitude, réfugiés dans ce bras mort très calme, quasiment sans courant. Mistral à décorner les bœufs et températures extrêmement fraîches pour la saison, les conditions sont assez terribles aujourd’hui ! Coupe-vent et bonnet sont de rigueur et ce n’est pas son installation, en fait ultra simple, qui va réchauffer notre bonhomme. Une caisse, une desserte, une bourriche, un manche d’épuisette, un support feeder et le voilà prêt. Benjamin a pris soin de s’installer au plus loin de la prise d’eau avec le fleuve, se positionnant complètement en travers pour réduire l’action…
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