Encore peu exploitées par les pêcheurs de silures, peut-être obnubilés par la recherche des plus gros spécimens d’eau courante, les possibilités de belles découvertes que proposent certains étangs ne pouvaient laisser indifférent Lilian Fautrelle.
La limnologie, c’est-à-dire l’étude des systèmes écologiques des eaux continentales, divise les eaux présentes en surface en deux grandes catégories : courantes et stagnantes. Et en France, on sait que les deux ne manquent pas ! Publics et privés
Le silure, qui se répand sur notre territoire depuis bientôt un demi-siècle avec de formidables facultés d’adaptations, est aujourd’hui présent dans les deux. Mon histoire de pêcheur et mon affection prononcée pour les grands espaces et l’isolement font que j’arpente généralement des biotopes d’eau libre. Cependant, conscient de la multitude d’opportunités encore inexplorées qu’offrent les eaux stagnantes, la traque en étang s’est petit à petit invitée dans mes pratiques ces dernières années. Plans d’eau privés ou publics, il ne s’agit pas d’en faire ici une apologie à sens unique mais de dresser une sorte de bilan factuel de ce qu’est aujourd’hui la…
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